mardi 2 septembre 2014

Le mensonge Locussol.2.



2) Le mensonge Locussol suite...

Mais avec, à Alençon, le 6 octobre 2012 l’érection d’une plaque à la mémoire du traitre à la France et communiste (pléonasme) Alfred Locussol, « fonctionnaire » des douanes et des enregistrements, Pierre Frénée et son « ami » et camarade François Tollot adjoint au maire  socialiste, Joaquim Pueyo qui « financera » l’événement avec les impôts des Alençonnais, se disqualifie encore un peu plus.
C'est vraiment dur d'être communiste car il faut avoir une mémoire à trous… ce qui est nécessaire pour la tromperie permanente comme on va le voir !

Alfred Locussol est né le 30 Septembre 1904 à Carnot alors en France dans le département Français d’Alger, on ne sait rien ou très peu de la jeunesse d’Alfred Locussol.
Il aurait été « camarade » au Lycée de Blida avec les terroristes du nauséabond FLN Ben Khedda et Saad Dahlab.

Il est dit qu’après des études supérieures, il aurait «travaillé» pour l'administration ( ?). 
Après avril 1944 à 40 ans il est attaché de cabinet au ministère de l’air avec Grenier puis Charles Tillon ce qui implique une adhésion pleine et entière au Parti Communiste Français et une formation dans une école du parti qui se trouvaient toutes alors à Moscou.
En 1945 le Parti Communiste par la voie du traître, déserteur et collaborateur des Nazis le secrétaire général du PCF Maurice Thorez désapprouvera la mutinerie ou insurrection de Sétif prélude à la « guerre » d’Algérie. Lors du massacre de Sétif et Guelma, il désignera même ceux-ci sous le nom de « provocateurs hitléro-trotskistes ». En novembre 1954, les communistes du PCF condamnent de façade aussi l’insurrection déclenchée par le FLN. 
En 1947 à 43 ans Locussol serait devenu militant du Parti Communiste Algérien (PCA) dont il est dit qu’il émergea en 1920 comme une extension du PC- SFIC (Parti communiste Section Française de l’Internationale Communiste)  qui deviendra beaucoup plus tard le Parti communiste français (PCF). Hors il s’agit encore une fois d’une falsification historique marxiste culturelle.  
Le PCA sera créé et contrôlé jusqu’en 1952 par André Marty, un communiste stalinien criminel et assassin, traître à la France qui avait été mis en place vers 1931 à la tête du Parti communiste Section Française de l’Internationale Communiste par Eugen Fried, l'homme de Moscou qui dirigeait secrètement depuis Bruxelles le Komintern pour toute l'Europe de l'Ouest. 
A partir de 1931, Marty est de plus en plus impliqué dans l'appareil de l'immonde Internationale communiste appelée également Komintern à l'exécutif duquel il représentera le parti français. (Aujourd’hui en France le « Komintern » s’appelle Attac) En 1935, il sera nommé au présidium et au secrétariat, devenant ainsi le Français au grade le plus élevé au sein du Komintern. Il entre également au bureau politique du parti français en 1932. ICI
De fait le Parti communiste Section Française de l’Internationale Communiste est étroitement tenu par Moscou : par exemple de 1930 à 1943, date de sa mort, le parti est contrôlé par l'agent du Komintern Eugen Fried, Juif hongrois né en 1900 qui parle yiddish, hongrois, tchèque, slovaque, français, russe et anglais, qui choisit, pour Staline, comme dirigeants du parti : Maurice Thorez (dont la première femme sera sa dernière compagne et dont il élèvera le fils), Jacques Duclos, Benoît Frachon et André Marty.

Pendant la guerre civile Espagne, à partir de 1936, le Komintern nomme Marty inspecteur général des immondes  Brigades internationales et il restera planqué en Espagne jusqu'à la fin de la guerre, en 1939. André Marty, sera surnommé le « boucher d'Albacete », il fut notamment chargé d'éliminer physiquement les trotskistes, nombres de trotskistes étaient à cette époque juifs à commencer par Trotsky lui-même (Lev Davidovitch Bronstein) et son compère bolchévique et assassin Grigori Zinoviev . Le témoignage de Sygmunt Stein, un communiste polonais, membre des Brigades Internationales et de confession judaïque dans son livre écrit en yiddish dans les années 1950 et parus dans une traduction française de Marina Alexeevna-Antipov en 2012 est capital. Tout ce qu’il croyait combattre dans le fascisme (Forme nationaliste du socialisme), à commencer par l’antisémitisme, il le retrouve dans son propre camp, le camp communiste, le camps de la haine, cette haine antisémite qui sévit encore aujourd’hui au sein de ce « parti » dont de nombreux militants sont condamnés pour incitation à la haine raciale antisémite, dont des militants du MRAP mouvement qui distille de la haine des juifs ! La déception est à la mesure de l’espoir qui l’avait mené en Espagne : immense. Affecté par la suite à la compagnie juive Botwin, il sera envoyé au front pour servir de chair à canon.

Des exécutions arbitraires du « boucher d’Albacete », André Marty, aux banquets orgiaques des commissaires politiques, en passant par les impostures de la propagande soviétique, Sygmunt Stein dénonce violemment dans son livre la légende « dorée » des Brigades internationales assassines.
Voir ici

Hemingway fait un portrait très peu flatteur de Marty dans Pour qui sonne le glas, où il apparaît sous le nom d'André Massart. On vient de voir que dans ses souvenirs de la guerre d'Espagne, publiés primitivement en yiddish en 1956 le brigadiste polonais Sygmunt Stein qui a connu Marty à Albacete, le présentait sous le jour d'un antisémite stalinien sanguinaire qui inspirait la terreur à ses camarades de combat.

Le traître antisémite et assassin communiste André Marty est à Moscou lors de l'annonce de la signature du pacte germano-soviétique, et de la déclaration de guerre, en septembre 1939. Il y est rejoint par un autre traître et déserteur Maurice Thorez qui avait, sur un ordre de Dimitrov rejoint Moscou. Il travaille pour le pestilentiel Komintern jusqu'à la dissolution de celui-ci, en mai 43, et en octobre 43, il arrive à Alger pour représenter le PCF auprès du gouvernement provisoire du Colonel De Gaulle autoproclamé général et siéger à l'assemblée consultative ce qui expliquera plus tard et en partie les liens entretenus par le « Général » avec Prosper Môquet (Le père de Guy), André Moine et autres rouges criminels, nous aurons l’occasion d’en reparler. 
Les noyaux (cellules) du PCA étaient principalement composés d'ouvriers expatriés, européens dont de nombreux Français « indésirables » en métropole. PCA dont André Moine était depuis 1947 le secrétaire permanent.

Ah ! André Moine ; un programme communiste nauséabond et haineux à lui seul. Arrêté le 29 août 1939 par le gouvernement socialiste de l’époque pour propagande communiste, condamné à six mois de prison à Pau, puis mis en résidence surveillée avant d'être déporté en Algérie et interné à Djelfa (sud algérien) puis à la redoute de Bossuet (ex. Biribi), en Oranie.

Libéré le 1er juin 1943, il « travailla » dans une fabrique d'allumettes et fut détaché par la délégation du Comité central du P.C.F. et du Parti Communiste d’URSS auprès du Parti communiste algérien afin de l'aider à se réorganiser, il ne rentra en France qu'en octobre 1946 pour être instructeur du P.C.F.

En mars 1947, sur proposition de Mauvais au nom prédestiné et Feix, il fut envoyé à Alger où il se maria en 1947 avec Blanche Masson, installée en Algérie depuis 1939, militante C.G.T.. Il est dit que pour mieux « s'intégrer » comme « algérien d'origine européenne », il « travailla » sur l'histoire de l'Algérie et de la civilisation arabe (Sic), multiplia les conférences et publia en 1950-1951 des articles de fond dans Liberté sur les questions de la nationalité et de la culture algériennes (re sic). Belle réussite pour un ex « ajusteur » juste titulaire de son Certificat d'études primaires. Responsable du fameux Mouvement de la paix ( ?), il incita les militants du PCA à entrer dans la lutte armée dans les Aurès. Semi clandestin à partir du printemps 1955, il organisa l'imprimerie camouflée de « Liberté ».
 
C’était donc le « patron » de Locussol. Comme formateur il mis au point les méthodes d’enlèvements, viols, tortures, et actes de barbarie des agents du FLN jusqu’à ces « quarante Européens séquestrés » jus­qu’à ce que mort s’ensuive pour servir de « donneurs de sang » aux rebelles terroristes du FLN. Clandestin dès février 1956, il fut arrêté par les parachutistes le 25 juillet 1957, interrogé fermement par la Police Judiciaire, par la D.S.T. et par les militaires. Il fut condamné à 5 ans puis à 20 ans de prison et sa femme à 10 ans de travaux forcés. Ils furent malheureusement libérés en avril 1962.
L’association de malfaiteurs communistes le PCA déclaré groupe de combat et milice privée (à l’époque on ne parlait pas de terrorisme) est dissous (Dix sous c ’est pas cher pour un mouvement d’assassins communistes) par décret du 12 septembre 1955 d’Edgar Faure.
Alfred Locussol comme son camarade  le « chef » André Moine rentre alors dans ce qu’il est convenu d’appeler la « clandestinité » qui est l’autre nom de l’action terroriste.

D’emblée le PCA et Alfred Locussol avaient fourni au terroristes du FLN les premières bombes homicides (Alvarez à Oran, Iveton à Alger) et les premières poseuses de bombes (Danielle Minne (1mort 25 blessés), et Raymonde Peschard (*1))
En 1956 on découvre à son domicile du matériel d’imprimerie pour l’organe nauséabond de propagande marxiste et terroriste du parti communiste algérien, Liberté Enchaînée.
 
Convaincu de complicité avec l’aspirant Maillot un immonde déserteur communiste passé au FLN avec un plein camion d’armes, Locussol passe en jugement et n’est condamné qu’à 1 an de prison avec sursis fin 1956, sous le gouvernement Guy Mollet, il quitte l’Algérie à l’instigation du PCF et s’installe en France. Immédiatement, la direction du PCF le prend en charge, lui donnant un travail et un appartement à Alençon ou il est muté comme directeur adjoint de l’enregistrement et des domaines. Il y poursuivra discrètement ses activités terroristes en se rendant une fois par semaine à Paris prendre ses ordres. Il entretenait d’étroites relations avec les chef barbouzes du MPC (mouvement de « gaullistes » de gauche Voir ici notamment un dénommé Michel Mertz Ici) à qui il fournissait de jeunes « éléments » communistes de « valeurs » (Entendre des « jeunes » formés à l’action terroriste criminelle) ou éléments « progressistes » aussitôt embrigadés dans les sections anti patriotes et dirigés vers l’Algérie.
Le docteur Georges Hadjadj, militant du PCA, confirmera plus tard que le PCA, Locussol et ses complices marxistes fabriquaient des bombes participant ainsi aux attentats terroristes criminels pendant la bataille d´Alger.

C’est aussi en 1956 que le PCA est progressivement marginalisé par le FLN, tous ses militants passant à la lutte terroriste armée l'ayant rejoint. C'est ainsi que Fernand Iveton, pose une bombe à Alger peu de temps après avoir quitté la branche armée du PCA.

Peu de temps après, en septembre 1956, le terroriste communiste professeur de sciences à la faculté d’Alger dit «mathématicien» Maurice Audin organise l'extradition clandestine, vers l'étranger, du premier secrétaire du PCA, Larbi Bouhali, avant d'être lui-même arrêté, il disparaîtra lors de sa tentative d’évasion lors de la « bataille d'Alger ».
Nonobstant, on notera que le PCA le FLN et l’ALN (Armée de libération nationale) se sont essentiellement livrés à des exactions dirigées de manière aveugle contre l’ensemble de la population en Algérie.
Il est une population en Algérie qui a particulièrement souffert de ses exactions communistes et musulmanes, c’est les juifs en tant que juifs et pas en temps que Français de confession Israélite. C’est ainsi que du point de vue des felouzes et des moudjahiddines qui tuent au faciès ave du matériel fourni par les communistes, comme par exemple le 20 Août 1955, dans le Constantinois, il y a uniquement des « Yahud » et des « Nsara » (chrétiens). Ici les juifs, on les visent bien parce que Juifs qu’on tuaient, « de préférence le samedi » Et on les visaient, selon différents modes opératoires, en les arrosant d’essence dans la rue (David Chiche, 65 ans, Alger), en les tuant à l’entrée ou à la sortie des synagogues (comme à Constantine, quelques mois avant l’indépendance, Edmond Baruch Sirat, frère du Grand Rabbin de France René Sirat), ou avec des bombes, y compris chez eux (Isaac Aziza, rabbin de Nédroma, tué avec sa famille). Ils sont pourchassés en tout lieu : devant leur magasin comme Emile Atlan (héros de l’Opération Torch, mise au point par des Juifs, qui permit aux Américains de prendre Alger sans combat), à l’intérieur de leur lieu de travail, ou en des lieux de détente (grenades dans les cafés de Constantine) ou de loisir (Casino de la Corniche qui pulvérise notamment l’orchestre de Lucien Séror, dit Lucky Starway)... Les synagogues, elles-mêmes ne sont pas épargnées : grenades dans les synagogues de villes du Sud, Boghari en Mars 1958 (1 mort), et Bou Saada en 1959 la veille de Kippour (la petite fille du Rabbin est tuée). Celle d’Orléanville est incendiée. La grande Synagogue d’Alger,  en Décembre 1960, est dévastée aux cris de « Mort aux juifs », les Rouleaux de la Tora profanés, des croix gammées dessinées sur les murs, et le drapeau indépendantiste planté.
Le « camarade » Locussol est donc en France en 1957 où il continue sur le sol de la métropole ses actions clandestines de traître à sa patrie, de communiste (Pléonasme) et d’agent du FLN.
Il convient ici de faire une mise au point capitale, il n’y eu jamais de « guerre » en Algérie, l’Algérie n’était pas une colonie, l’Algérie c’était la France ! Comme la Bretagne ou le Pays Basque. Il y eu essentiellement des opérations de maintien de l’ordre dans les départements Français d’Algérie. Le mot « Guerre » à été employé à tort comme d’habitude par les marxistes pour justifier de leurs actions terroristes, en effet dans une guerre dite « de libération » ( l’antienne marxiste : la fameuse juste lutte des peuples pour le droit à disposer d’eux-mêmes) il y a, du fait du mot «  guerre » une juste « cause »,  des combattants, des soldats, des morts, des armes etc. ça a quand même une autre gueule que des lâches attentats aveugles et terroristes à la bombe pour assassiner des femmes et des enfants au nom de l’édification du socialisme .


C’est lui qui aidera avec sa connaissance de l’action terroriste ou progressiste son ami et camarade Harry John Salem dit Henri Alleg (*2) qui était en prison en Algérie inculpé d’ «association de malfaiteurs», d' «atteinte à la sûreté extérieure de l'État» et de  «reconstitution de ligue dissoute» et condamné à 10 ans de prison.
On cherche à obtenir sa libération, mais le communiste Henri Alleg n’appartient pas à l’appareil du PCF. Son épouse prend des contacts avec une autre organisation marxiste, la Ligue des Droits de l’Homme, dont le président, Émile Kahn, écrit à Robert Lacoste, ministre résidant en Algérie.
Fin juin 1960, Alleg, devant être entendu comme témoin dans l’instruction du procès de « l’affaire » Audin, fut transféré à Rennes. Se plaignant de pseudos troubles de santé, il fut placé en centre hospitalier surveillé. Son épouse Gilberte Serfaty, Alfred Locussol et quelques « camarades » organisèrent alors son évasion, dans la nuit du 2 au 3 octobre 1961. Henri Alleg, est alors exfiltré en Tchécoslovaquie socialiste plus exactement à Prague la « Genève communiste », qui accueille les terroristes des Partis Communistes du monde entier menacés par les autorités de leurs pays.
Une partie des organisations communistes internationales, comme l’association internationale des juristes démocrates ( sic), la fédération mondiale de la jeunesse ou le conseil mondial de la paix (re sic), a son siège dans la ville et emploie des révolutionnaires professionnels, des terroristes assassins dit « éléments progressistes ». Les secrétariats des partis communistes s’adressent directement à l’ambassade tchèque pour la demande d’accueil des « militants ».
Finalement Alfred Locussol fut exécuté à son domicile par l’OAS, le 3 janvier 1962. Il s’agissait en l’occurrence de la première exécution d’un traître à la France sur le territoire métropolitain qui avait été condamné par l’organisation patriotique depuis l’Algérie.



L’exécuteur, fils de bonne famille, fut rattrapé le jour même au Mans, condamné à vingt ans de détention puis libéré dès 1968. À peine Alfred Locussol était-il enterré à Alençon au cimetière Notre-dame, en 1962, que sa tombe était taguée d’un tonitruant et imbécile (Mort aux cocos) en effet il était déjà mort. Le corps a alors été transféré en un lieu tenu secret par la famille. Il l'est toujours. En effet, les capitulards marxistes, les terroristes communistes, les complices de crime contre l’humanité, les traitres à la France doivent se cacher au lieu de parader. Ils n'ont pas lieu d'être fiers de leur trahison, du massacre des femmes, des enfants et des populations qu'ils ont aidé de leur complicité immonde. Pour ceux qui ne le sauraient pas ou qui l'ont oublié, le FLN avec l’aide du Parti Communiste se disant « Français » a tué 30.000 Jeunes Appelés Français entre 1954 et 1962 (10 par Jour pendant 8 Ans).

Alors les ennemis de la France et les traitres communistes peuvent aller raconter leurs fariboles en Algérie et édifier leurs monuments à la gloire de la haine rouge du sang de 150 millions de victimes de leur idéologie socialiste pestilentielle car les assassins du F.L.N. les recueilleront peut être pour écouter leurs balivernes. ( Rien n’est moins sur)
Nous souhaitons que des témoins de cette époque nous envoient leurs témoignages. Qu'ils n'hésitent pas à nous contacter sur ctecna@gmail.com de manière anonyme ou en commentaires anonymes sur ce blog.
Fin de la deuxième Partie du « mensonge Locussol ».
Septembre 2014 la fête de la haine rouge !

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