mardi 2 septembre 2014

Le mensonge Locussol.3.



3) Le mensonge Locussol

Notes sur l’affaire Locussol.
(*1) L’infirmière dite aussi assistante «sociale» et immonde activiste communiste Raymonde Peschard dite «Taous» avait entre autre, attentats placé une bombe fabriquée par le PCA et Locussol, le 5 Octobre 1957, dans un car de ramassage scolaire à Diar es-Saada, il y eu 12 morts et 15 blessés graves uniquement des enfants, tous Pieds Noirs. Déposer un couffin avec une bombe et s'en aller, fière de la mission accomplie, représente vraiment le summum de la barbarie. Le comble ou le paradoxe, c'est au nom de ce sois disant esprit progressiste, humaniste, au nom des libertés, de la paix, de la justice, de l’égalité entre les hommes et les races, que ce crime odieux fut commis pour le même sois disant idéal « progressiste » qui anime les 7 antisémites d’Alençon. Comment peut-on justifier la mort d'enfants innocents, d’enfants blessés amputés à vie, au nom d'un idéal communiste ayant sois disant pour objectif la liberté des hommes à disposer d’eux-mêmes ?


Les enfants mutilés d'Algérie à cause de l(idéologie marxiste.
Le 4 Avril 1957, 28 inculpations et 18 mandats de dépôt (préventifs) interviendront à Alger dans l'affaire du soutien au FLN apporté par les « libéraux » (on ne dit plus alors « communistes »). Parmi eux, la poseuse de bombe, la terroriste communiste Raymonde Peschard échappera à l’arrestation.

Fin 57 la presse dira qu’elle a été appréhendée. Cette nouvelle était fausse. Les parachutistes furent cependant très injustement « soupçonnés » et accusés par la presse gauchiste de l’avoir fait mourir en prison sous la torture. Or, mise en cause par un membre du PCA inculpé dans l’affaire Guerroudj (bombes et attentats terroristes) la camarade Raymonde Peschard parvint à échapper aux recherches et à rejoindre les terroristes du FLN de la wilaya 3 .
Elle fut les armes à la main abattue au cours d’un combat le 26 novembre 1957, près de Bordj Bou Arreridj, à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest de Medjana exactement à Draa Errih, sur un chaînon des monts des Bibans, le djebel Tafertas, porteuse d’un ordre de mission des monstres terroristes du FLN (signé du « commandant » Amirouche) pour gagner la Tunisie (Ce qui n'empêche pas la presse marxiste culturelle, de la présenter encore de nos jours, comme une humaniste, une progressiste lâchement torturée et assassinée par les méchants paras commandés par le colonel Georges Buis.).

(*2) L'apatride Harry John Salem dit Henri Alleg  est né dans une famille juive communiste installée en Angleterre qui vient à Paris au début des années 1920. En 1939, Alleg quitte la capitale pour Marseille et Alger. Il devient communiste au cours de l’année 1940 voir début 1941 en pleine période d’alliance germano-soviétique. Il fait un séjour rapide à l'École léniniste internationale à Moscou ou il rencontre, André Marty dont il prendra les ordres et Maurice Thorez le déserteur et revient à Alger.
Puis après l’invasion de l’URSS par l’Allemagne qui simplifiait le jeu politique et permettait aux communistes de lier action politique, antifascisme et anticolonialisme Salem anime à partir de cette période les différents groupes de jeunes communistes. Très vite, il grimpe dans le cursus honorum communiste et est nommé commissaire politique dit instructeur du PCA, chargé par les instances communistes de Moscou (Komintern) de vérifier la bonne application de la ligne du Parti et de pratiquer le cas échéant des mises au point, de faire faire des autocritiques,  d’exclure du Parti et d’éliminer physiquement les déviationnistes.
En juin 1941, sur ordre de ses supérieurs de Moscou le jeune Salem nouera des contacts avec les communistes d’Alger, notamment par le syndicaliste cheminot Jacques Bentolila. Pourchassés, dispersés, les communistes se réorganisaient tant bien que mal dans la clandestinité. Harry Salem reçut le pseudonyme de Duval. Le PCA appelait alors à la résistance nationale, et des numéros clandestins de La Lutte Sociale parlaient déjà d’Algérie indépendante.

En 1946, le stalinisme triomphant atteint des sommets dans la dénonciation des adversaires supposés infiltrés dans le Parti – comme l’expliquera notamment Edgar Morin dans « Autocritique » quelques années plus tard. Ainsi il participe à l’exclusion d'Amar Ouzegane et de ses proches en 1947 en raison de leurs prises de positions nationalistes. Henri Alleg intègre l’ensemble des instances directionnelles supérieures du parti algérien en 1949, siégeant au bureau politique avec Alfred Locussol.

En 1954 après la perte des colonies d'Indochine, Moscou reporte ses efforts nauséabonds sur une autre région du monde ou il souhaite étendre son influence idéologique : L'Afrique du nord. Encore une fois, il lui sera au préalable nécessaire d'en exclure d'abord ses ennemis « capitalistes ».
Pour cela, il va activer le PCA (Parti Communiste Algérien), soutenu par le PCF, qui en plus de fournir un encadrement administratif et de propagande avec entre autre Léopold Figueres, va s'engager dans de nombreuses actions sanglantes, au profit du FLN qui en est très proche.
Le PCA et le FLN recevront du PCF courroie de transmission du Komintern des conseils en agitprop, des armes, du matériel de guerre, et surtout, des experts en explosifs, qui vont leur permettre de mener leurs campagnes de terreur sur tout le pays, et, principalement sur Alger.

Alleg devient parallèlement éditorialiste puis directeur d’ « Alger républicain » sorte d’Huma locale. Dans la feuille de propagande communiste, les articles soutenant la sois disant émancipation des « colonisés » et dénonçant la « colonisation » cohabitent avec des apologies de la mise en place des démocraties populaires, de la politique stalinienne de collectivisation des usines et de l’agriculture, et de l’élimination de tous les opposants.
Avec les « événements » d’Algérie « Alger républicain » est interdit. À la demande du Parti, Alleg met en place une structure légale tentant de faire repaître le journal alors que les cadres du PCA dont Locussol passent dans la clandestinité et l’action terroriste.
Arrêté le 12 juin 1957 au domicile d’Audin, il est un peu bousculé, livrant le récit des prétendues exactions et « tortures » qu’il aurait subies dans un roman : « La Question ». (*4)

Alors qu’il est transféré à Rennes pour être interrogé sur les agissements du PCA et ceux du traître Audin…. Là il convient de faire une petite parenthèse et de voir qui était le « camarade » Audin :

Maurice Audin, né en 1932 à Béja (Tunisie) est mort à Alger en 1957, était un communiste Français adhèrent au Parti communiste algérien dés 1951, d'abord comme membre de la cellule Langevin de l'Union des Étudiants communistes, puis, à partir de 1953, d'une cellule d'Alger. Il fréquente et cela sous les ordres du Parti Communiste l'association des étudiants musulmans, l'AEMAN (devenue en 1955 l'UGEMA) en vue de l’infiltration des idées socialiste révolutionnaires.

Maurice et son épouse Josette (Elle aussi communiste) font partie de la petite minorité des Français d'Algérie manipulés consciemment ou inconsciemment par Moscou et l’Internationale marxiste. La famille Audin, des enseignants de l’éducation Nationale participe aux actions terroristes initiées par le Parti Communiste Algérien dont ils sont membres.
En septembre 1956, il organise, avec sa sœur (Charlie, née en 1925) et son beau-frère (Christian Buono (*3)), l'exfiltration clandestine à l'étranger de Larbi Bouhali, premier secrétaire du PCA.

Merci "monsieur" Audin !

En janvier 1957, est lancée l'opération dite « bataille d'Alger », pour laquelle la 10° Division Parachutiste (général Massu) détient les pouvoirs de police dans la zone d'Alger.

En mars 1957, Maurice Audin héberge un autre dirigeant communiste, Paul Caballero, à un moment où celui-ci doit être soigné par un médecin membre du Parti (Le docteur Hadjad) C'est cet événement qui met les parachutistes sur la piste de Maurice Audin.
Quelques mois auparavant, il avait rencontré deux fois, par l’intermédiaire d’ Henri Alleg, André Moine, le chef de réseau, celui justement sur lequel les forces de police devaient mettre la main à tout prix le « patron » qui avait mis au point et dirigeait avec Locussol les méthodes d’enlèvements, viols, tortures, et actes de barbarie des agents du FLN.
Après son arrestation le 11 juin 1957 au cours de la bataille d'Alger, il disparaît au cours d’une tentative d’évasion.
Son épouse madame Josette Audin dépose une plainte contre X pour homicide le 4 juillet 1957 ; une enquête judiciaire est engagée.
À la demande des avocats de Madame Audin, l'instruction de cette affaire est transférée à Rennes en avril 1959 et n'est pas terminée à la fin des événements (mars 1962). Un non-lieu est prononcé en avril 1962, pour insuffisance de charges. De plus, le décret du 22 mars 1962 amnistie « les faits commis dans le cadre des opérations de maintien de l'ordre dirigées contre l'insurrection algérienne ». Les avocats font appel puis saisissent la Cour de cassation. En 1966, la Cour de cassation dit n'y avoir lieu à statuer sur le pourvoi, les faits allégués par la partie civile étant amnistiés par une loi du 17 juin de cette année. En conclusion on pourrait dire que comme le renard de la fable tel est pris qui croyait prendre !
Fin de « l’histoire » Audin.
Fin juin 1960, Alleg, devant être entendu comme témoin dans l’instruction du procès de « l’affaire » Audin, il fut transféré à Rennes. Se plaignant de pseudos  troubles de santé, il fut placé en centre hospitalier surveillé. Son épouse Gilberte, Alfred Locussol et quelques « camarades » organisèrent alors son évasion, dans la nuit du 2 au 3 octobre 1961 ? Henri Alleg, est alors exfiltré en Tchécoslovaquie socialiste à Prague qu’il quittera vite pour Moscou.
Merci les communistes!

C’est ainsi qu’ Henri Alleg rencontre dans les bureaux de Prague, Léopold Figues et le criminel contre l’humanité Georges Boudarel, l’ancien déserteur devenu instructeur politique auprès des soldats français prisonniers en Indochine. Alleg revient en Algérie après l’indépendance, tentant pendant plusieurs années de construire un parti communiste. 

En même temps qu’il pratique le « journalisme » politique à « Démocratie Nouvelle » puis à « L’Humanité », il est également un « commis voyageur » du mouvement communiste international, participant à de multiples réunions en vue de concerter l’action du mouvement. Il en est l’un des plus ardents.

En effet, Alleg publie entre 1965 et 1991 plusieurs ouvrages dans la lignée stalinienne et brejnévienne, dénonçant les États-Unis ("SOS América", "Requiem pour l’oncle Sam") à la gloire de Cuba ("Victorieuse Cuba") surtout de l’URSS parmi lesquels "Étoile rouge et croissant vert et l’URSS et les juifs" de justification de la politique soviétique [dans lesquelles il justifie tous les aspects de la politiques soviétiques] à l’égard notamment des minorités, expliquant, ainsi que la situation des Juifs sous le communisme est [a été] « globalement positive »Juste quelque millions de mort c’est vrai que pour un communiste c’est assez « positif » !

Il déplorait, dans un de ses derniers ouvrages, republié depuis par l’une des dernières maisons d’édition stalinienne, les éditions Delga, la fin de l’URSS en critiquant fermement la politique gorbatchévienne.
Dans le même temps, le criminel Alleg a poursuivi son action progressiste. Il participe en 1992 à la fondation du  Comité Honecker de Solidarité Internationaliste  qui faisait partie du  comité internationaliste pour la solidarité de classe (présidence : Henri Alleg, Mumia Abu Jamal ( Le taulard américain tueur de flic), Margot Honecker, Désiré Marle) défendant l’ancien militant du KPD, qui, dans l’entre-deux-guerres, fit ses études à l’École léniniste internationale à Moscou, avant de devenir, après la Seconde Guerre mondiale, l’un des principaux puis le principal responsable de la République « Démocratique » Allemande criminelle et communiste totalitaire.
Fin de la troisième Partie du « mensonge Locussol ».

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