mardi 2 septembre 2014

Le mensonge Locussol.5.



5) Le mensonge Locussol.

Suite des notes sur l’affaire Locussol.
(*3) Christian Buono est encore de ces hommes dont l’histoire se confond avec l’histoire nauséabonde du communisme. Né en 1923, il grandit à Skikda (Philippeville, à l’époque), ville natale de ses parents. Puis il devient, avec son jumeau Claude, élève de l’École Normale d’Instituteurs de la Bouzaréah. Il y rencontre Charlye Audin, qu’il épouse en 1947. Mariage d’où naîtront six enfants. Christian et son épouse deux militants communistes idéologues marxistes de l'intoxication et du mensonge politique rejoignent le Parti Communiste Algérien.
Celui-ci, qui prône la thèse de l’indépendance, est interdit en 1955. C’est l’année où le couple exerce à MAKOUDA, en Kabylie, Charlie et Christian y poursuivent leurs activités nauséabondes et haineuses dites « militantes » (distribution de tracts, dénonciation des conditions de vote pour les Algériens, etc. ...) Aux dires fallacieux et mensongers des « militants » du FLN ils auraient fait preuve d’un dévouement sans limites dans leur tâche d’instituteurs modèles, parce qu’à leurs yeux, enseigner aux petits Algériens l’histoire de leur pays, à l’époque où « nos ancêtres les Gaulois » résonnent haut et fort dans toutes les écoles de France et d’Outre-mer, constitue une marque de respect et un moteur de libération fondamentaux.
En 1956 à Alger c’est plus précisément dans la Cité « populaire » de la Montagne qu’ ils vont exercer leur profession d’enseignants du primaire traîtres à leur patrie et d’apprentis terroristes.
Tous deux deviendront les logeurs des activistes dirigeants du Parti Communiste Algérien tels que Larbi Bouhali, premier secrétaire, puis Paul Caballero et André Moine. Pendant cette période, Christian Buono aura la charge de rechercher des planques pour les camarades recherchés, pour les armes, bombes et pour le matériel d’impression des publications clandestines du PCA, il fait passer de son propre F3 familial en haut d’Alger à Alger Plage ou La Pérouse en louant des cabanons ou des villas les terroristes rouges du PCA ou du FLN. C’est dans la demeure de Charlye et Christian qu’André Moine sera arrêté en 1957. Christian Buono le sera également. 

Transféré ensuite au camp de Lodi où sont internés d’autres militants et dirigeants communistes ou nationalistes, Christian y demeurera pendant deux années. En raison d’une augmentation des troubles de sa vue, il obtient, grâce à l’intervention de ses avocats, une assignation à résidence dans son domicile. Mais en 1959 le tribunal permanent des forces armées à Alger, au procès de plusieurs militants communistes poursuivis à la suite de leur soutien actif au combat armé et terroriste le condamne à cinq ans de prison. Son avocat, Maître Matarasso qui milite au Parti Communiste Français, parvient à lui obtenir de ce tribunal la liberté médicale.
Libéré sous condition, Christian Buono parvient à fausser compagnie aux services de police qui assuraient sa surveillance. Il disparaît, prend le nom de Michel Marchand et devient un activiste terroriste habitant dans un immeuble des hauteurs d’Alger jusqu’à l’indépendance de l’Algérie. A ce moment là il reprend aux côtés de son épouse son « métier » d’enseignant à l’école primaire de la Cité de la Montagne.
Il était binational et reconnu comme ancien moudjahid (Autre nom des assassins terroristes du FLN, aujourd’hui on parle de djihadistes).
Il est mort en 2012 à 88 ans.

(4) « La Question » serait un livre autobiographique d'Henri Alleg, publié en français en 1958 et en anglais, alors qu’il n’est qu’un énorme mensonge marxiste. Il y narre et dénonce la prétendue torture des prétendus civils qui n'étaient que des terroristes ou complices de terroristes assassins de femmes et d’enfants du PCA et du FLN, pendant les « événements » et opérations de maintien de l’ordre républicain dans les départements Français d’Algérie appelés à tort : «  la guerre d'Algérie ».
Le camarde Alleg du Komintern communiste internationaliste est arrêté le 12 juin 1957, le lendemain de l'arrestation de Maurice Audin, par les hommes de la 10e division parachutiste. Il est gardé un mois à El-Biar où il subit de multiples interrogatoires, dont un mené après une injection de penthotal. Il est ensuite transféré au camp de Lodi où il reste un mois puis à Barberousse, la prison civile d'Alger. C'est là qu'il écrira La Question, dissimulant les pages écrites et les transmettant à ses avocats.
Le général Massu, qui reconnaîtra plus tard l'utilisation des interrogatoires musclés dans certains cas particuliers notamment lors d’interrogatoires de terroristes et criminels assassins de femmes et d’enfants lors des « événements » d'Algérie, affirme en 1971, « en fait de tortures, Alleg a reçu une paire de gifles ». Roger Faulques, officier du 1er REP, accusé d'avoir assisté à ces prétendues « tortures », déclare lors d'un procès en diffamation contre Jean-Jacques Servan-Schreiber et Jean François Kahn en 1970 en parlant d’Alleg: « Je ne l'ai vu qu'une seule fois, mais il m'a fourni à cette occasion des indications qui m'ont permis d'arrêter les membres du parti communiste algérien ».Criminel communiste traître à la France et à ses « camarades » vraiment ce Salem quel homme ! Quel magnifique « progressiste » !

Nous devons maintenant essayer de montrer que le livre de « monsieur » Alleg si il ne contient pas que des mensonges formels ne dit pas la vérité et surévalue nettement les «sévices» prétendus subit par les personnes interrogées dans le cadre des événements d’Algérie.

Au travers des actes de madame Nicole Dreyfus (avocate des assassins de femmes et d’enfants et des fellagas terroristes Baya Hocine et Djoher Akrour) nous pourrons nous rendre compte des mensonges honteux de ces individus marxistes culturels.


D’origine juive alsacienne, elle devait se réfugier avec sa famille en Provence durant l’Occupation. Avocate au barreau de Paris, elle a appartenu au premier groupuscule de défense des criminels terroristes du FLN dit : « Collectif de défense (Encore un « Collectif » décidément c’est une manie chez ces « gens là) des militants nationalistes algériens (Entendre ici les camarades du PCA du PCF et les felouzes du FLN terroristes) », aux côtés d’Henri Douzon, Michel Bruguier, Pierre Braun ou Angéline Dominique. Elle assura notamment la défense des assassins  terroristes du stade d’Oran. Elle devait participer aux côtés d’Henri Alleg et de la veuve Audin au fameux voyage à Alger, en novembre1984, du ministre des Affaires étrangères socialiste français Claude Cheysson. 

26 Janvier 1957, Saïd Aïssa Ould Laid est découpé en morceau par ses « frères » puis assassiné parce qu'il refusait de quitter son travail chez un propriétaire européen.
Membre du Parti communiste dit Français, elle a plaidé à plusieurs reprises pour ce parti, pour la marxiste CGT et pour le non moins marxiste Mrap. Responsable du Mouvement de la paix (risible) et Secrétaire générale de l’Association française des juristes démocrates, (Démocrate comme Lénine) l’une des associations longtemps satellites du Parti communiste, (remplacé aujourd’hui par le très marxiste culturel SAF : syndicat des avocats de France)  elle a animé des congrès de Malte et Alger et fut présente aux procès de divers militants et terroristes communistes en Corée du Sud, au Mexique et en Turquie.

C’est en 1956 que, jeune avocate, Nicole Dreyfus commença une série d’allers et retours, plusieurs fois l’an, entre Paris et Alger. Objectif : défendre les criminels assassins et terroristes du FLN et du Parti communiste algérien poursuivis… Cette sorte de pont aérien, mis en place avec d’autres « collègues », avait d’abord pour ambition « d’éviter le pire » c’est-à-dire la peine de mort aux accusés. Ils furent un certain nombre à défendre des fellouzes, des terroristes ou des porteurs de valises, certains avec une ardente conviction comme Roland Dumas et Jacques Verges ou Gisèle Halimi, défenseur actifs d'un certain nombre de d’assassins et de terroristes musulmans du FLN ou du PCA comparants devant les tribunaux Français dans les années 56-62. Nous ne serons pas les premiers à lui dédier cette photo ci-dessous :
Massacre de la famille Ortéga à Mers El Kébir par les amis de Madame la camarade Dreyfus.
Course contre la montre, dossiers travaillés parfois seulement en quelques heures, multiples menaces de mort, etc. : Nicole Dreyfus ne voudrait retenir aujourd’hui que le « courage » des terroristes criminelles pour lesquelles elle a plaidé : Bahia Hocine, Djohor Akrou, Malika Ighilahriz, la soeur de Louisette avec qui elle débattit lors de la « Fête » de l’Humanité.
Ci-dessous on trouve un extrait d’une interview de madame Dreyfus signataires du fameux appel contre la prétendue torture pendant la prétendue « guerre d’Algérie » ou elle avoue benoîtement que les deux immondes criminelles terroristes du FLN Hocine et Akrou n’avaient pas été torturées
Nicole Dreyfus : « J’ai été l’un des avocats habituels du FLN et du PCA (Parti communiste algérien), et c’est dans ce cadre que j’ai été amenée à plaider ce qu’on appelle « l’affaire du stade », en fait celle de deux stades, car, au même moment, des bombes avaient éclaté au stade d’El Biar et au stade municipal d’Alger. La police avait réussi à arrêter les auteurs de ces faits, et notamment deux jeunes filles de seize ans : Baya Hocine et Djhor Akrou, qui s’étaient rendues avec deux jeunes gens, l’une à El Biar, l’autre au stade municipal. Les bombes avaient été déposées par leurs compagnons. Lorsque l’affaire est venue une première fois devant la cour d’assises des mineurs,  elles échappaient à la compétence du tribunal militaire en raison de leur jeune âge, c’était la veille de Noël ».

Le journaliste : « Elles ont été condamnées à mort. En dépit de leur jeune âge ? »

Nicole Dreyfus : « Oui, en dépit de leur jeune âge et en dépit de leur sexe ! La Cour de cassation a cassé ce jugement et nous sommes revenus devant la cour d’assises d’Oran, qui, cette fois, les a condamnées aux travaux forcés à perpétuité. En clair, on savait à ce moment-là que, dès l’indépendance de l’Algérie acquise, elles seraient rendues à la vie civile. C’est ce qui s’est passé. Baya, malgré son âge, était quelqu’un qui avait à l’époque une personnalité assez forte... »

Le journaliste : « Est-ce qu’elle a été torturée ? »

Nicole Dreyfus : « Non. Baya et Djouher n’ont pas été torturées parce que les garçons qui faisaient partie de cette équipe ont été identifiés grâce à une marque de teinturier qui figurait dans l’une des vestes où était entreposée l’une des bombes. Elles ont été certainement passées à tabac, (supposition gratuite) mais pas plus, parce que l’évidence était là. On n’avait pas besoin de leur extorquer des aveux. On n’avait pas besoin de torturer ces deux jeunes filles.»

Finalement avec les cocos on en arrive toujours à la vérité.

Mais qu’avaient donc fait ces deux « jeunes filles » ?

Ce jour là les cris de joie des supporters montaient des stades d’Alger, en effet ce dimanche 10 février 1957, on jouait au football à El-Biar et au stade municipal de Belcourt, les deux stades étaient bondés car il faisait beau.
A 16 h 15 les bombes posées par les terroristes Baya et Djouher éclatèrent à El-Biar, créant une panique effroyable sur les gradins du stade. A 16 h 30, la scène se renouvelait au stade de Belcourt. Total 10 morts, 36 blessés dont beaucoup furent amputés. Baya Hocine et Djouher Akhrour assistées de Belamine, Ahal Boualem et Boudjema venait de faire leur sanglant office. 

Plus tard à l'hôpital de Mustapha, le sous-brigadier Casanova, blessé, effondré, apprenait la mort de son fils, son petit Roger, neuf ans. Ses neveux Louis, neuf ans également, et Jean-Claude, huit ans, étaient blessés.


En 1983, cette «avocate» communiste proche du « réseau Curiel » fut prise en otage par le détenu Lionel Cardon, ce qui ne manquait pas d’un certain sel puisque comme un de ses « confrères » devait le confier au Matin (25 novembre 1983), « je suis consternée de constater, en un moment où l’idéologie sécuritaire galope, que c’est la personne qui se bat le plus vigoureusement contre cette idéologie qui est prise en otage ».
A cette occasion, Georges Marchais le travailleur volontaire en Allemagne Nazie devait se fendre d’un télégramme (reproduit dans L’ Humanité, 26 novembre 1983) à « Ma Chère Nicole », dans lequel il assurait que « nul n’était besoin du drame que tu as vécu pour que tes camarades connaissent ton courage et ta dignité […] je tiens simplement à ajouter, en mon nom personnel et au nom de tous les communistes, l’expression de notre fierté de te compter parmi nous. »
Dans les années 80-90, elle figurait encore dans le comité de parrainage de la revue d’extrême gauche Celsius, qui se consacrait au fichage des « militants » de la droite nationale.( Diantre fichtre bougre, ça aussi c’est démocratique le fichage !)

Cette odieuse marxiste est une des fameuses communistes avec le terroriste Henri Alleg et  la veuve du criminel rouge Maurice Audin dits, les douze fameux « grands témoins » qui appellent à la « repentance » quant à la prétendue «torture» durant les opérations de maintien de l’ordre dans les départements Français d’Algérie. « Grands témoins » qui n’ont rien vu de la prétendue « torture » en Algérie comme les fameux « Témoins de Jéhovah » qui n’ont jamais vu l’accident. Elle se dit évidemment et mensongèrement apolitique comme toute bonne menteuse rouge, mais la marxiste stalinienne Nicole Dreyfus était encore la candidate du Parti communiste français aux élections législatives à Paris en juin 1988 dans le XVIe arrondissement. En mars 1986, elle figurait en dixième place sur la liste communiste de la Seine.

La camarade Dreyfus est décédée le 11 Février 2010 à 85 ans.
Mais l’histoire de la fausse torture en Algérie ne s’arrête pas là ; on vient de voir que déjà et au dire de leur avocate les deux « jeunes filles » terroristes sanguinaires et poseuses de bombes Baya Hocine et Djouher Akhrour membres du réseau terroriste de Yacef Saadi, n’avaient pas été «torturée» après leur arrestation.

Un deuxième exemple avec Djamila Vergès- Bouhired vient confirmer que la torture en Algérie c’était du bidon !


Djamila née dans une famille musulmane de classe moyenne, est scolarisée dans une école française ou elle est lobotomisée par une éducation nationale de plus en plus marxiste. Elle rejoint les terroristes du  Front de libération nationale durant ses années « étudiantes ». Elle «travaillera» plus tard comme officier de liaison et poufiasse personnelle du criminel terroriste  Yacef Saadi à Alger déjà pute et soumise !
Depuis l'été 56, Djamila Bouhired «travaillait» pour les terroristes du  F.L.N. Le laboratoire de fabrication de bombes fonctionnait déjà en septembre 1956 chez son oncle, Mustapha Bouhired, au n° 5, impasse de la Grenade (sans rire). Djamila Bouhired était très au courant de cette activité puisque Taleb et Marsali, membres de l'équipe de fabrication, attestent sa présence en ces lieux et à ce moment-là. C'est là que le 16.2.57 ont été découverts et saisis :
- 17 bombes parallélépipédiques de
1 kg,
- 9 bombes cylindriques (obus de
75 mm),
-
108 kg de dynamite gomme,
- 1 pistolet mitrailleur Thompson avec 10 chargeurs,
- 46 grenades,
- 30 pistolets et revolvers,
- 2 800 cartouches diverses,
- du matériel de laboratoire (fabrication d'explosifs)
- du matériel de fabrication de bombes (détonateurs - mèche lente, fil électrique, piles, etc.)
- 14 montres de gousset (pour dispositif de mise à feu - 60 réveils Bayard électrique à retardement).
- Divers : trousse de chirurgie, collection de fausses cartes d'identité et matériel de fabrication.


Ce même jour, Djamila Bouhired était en fuite, avec l'équipe de Yacef Saadi, dont elle était un membre actif.


L'importance de son rôle fut prouvée incontestablement, le 9 avril, lorsque, fuyant dans la Casbah devant une patrouille, elle fut blessée à l'omoplate (par une rafale tirée dans son dos par Yacef Saadi (Guerre d'Algérie N°7. Terrorisme et contre terrorisme) et ramassée, porteuse d'une importante correspondance destinée à Yacef Saadi et à Ali la Pointe le terroriste proxénète.
Son interrogatoire devait permettre de trouver le 18 avril une cache, renfermant 13 bombes et 33 pistolets ou revolvers, rue Porte Neuve: ce qui démontre qu'elle était au courant de l'ensemble des activités du réseau de fabrication des bombes.


En ce qui concerne son rôle personnel et direct de poseuse de bombes, ses premiers aveux signés et faits devant des officiers de police judiciaire sont précis, même si elle ne les a pas renouvelés devant le juge d'instruction. C'est qu'entre-temps elle avait reçu les conseils de ses avocats communistes (en particulier son futur époux Jacques Verges) dont la tactique était le traditionnel et bien connu « n'avouez jamais ». Cependant, la nouveauté introduite dans ces conseils était: « niez les aveux déjà faits en déclarant qu'ils vous ont été arrachés par la torture » ce qui est une méthode comme une autre.

Ces aveux seront, cependant, corroborés non seulement par Djamila Bouazza dont je parlerai plus loin, mais par le chimiste « Mohand Akli », de son vrai nom Taleb Abderrahmane, fabricant d'explosifs du réseau «  bombes »...
L'affaire Djamila Bouhired, reposait sur l'accusation de Djamila Bouazza une autre terroriste du FLN affirmant que Djamila Bouhired l'avait recrutée et lui avait apporté les bombes qui explosèrent le 9 novembre 1956, rue Michelet et le 26 janvier 1957, au Coq Hardi à 17h28 (A quelques pas de la grande poste au café le Coq hardi à l'angle de la rue Charles Péguy et de la rue Monge. Une bombe venait d'être déposée sous un guéridon au milieu de la terrasse verrière. Des femmes et des enfants furent encore les victimes les plus nombreuses.)

Selon Maître Vergès, Djamila Bouazza était atteinte de folie, (Cas isolé, folie etc. etc., des grosses ficelles bien connues pour disculper les terroristes ou les racailles encore de nos jours) qui s'était « exprimée » par des excentricités devant le tribunal militaire. La condamnation à mort de Djamila Bouhired reposant sur le seul témoignage d'une folle, contrevenait aux lois élémentaires de la défense. Or le 22 juin 1957, Djamila Bouazza écrit, depuis sa prison, à Rachid Hattab une lettre dont l'extrait reproduit ci-dessous révèle que sa « folie », n'était que simulacre et préméditation.

"Vous verrez quel coup de théâtre le jour du jugement. Moi, particulièrement, je dois me mettre à rire et elle à danser la samba. Comme ça toute la salle va se mettre à rire, moi je vais me mettre à chanter et elle à redanser. Le commandant devra faire lever l'audience et ce sera tout. Alors je pense que je vous ai assez embêté jusqu'à présent. Je vous quitte en vous envoyant toutes mes affectueuses pensées. Djamila."

Ci-dessous la lettre adressée à Yacef Saadi le 17 septembre 1957, et expédiée de Paris. Son auteur, Abderrahmane, fut identifié comme étant Germaine Tillions la « militante communiste Française. Cette lettre codée demande qu'Hattab Abdelmajid, à l'abri à Tunis, s'accuse des attentats commis par les deux Djamila condamnées à la peine de mort, et le fasse savoir au président de la République « mon grand-père ».

Mardi 17 septembre
Cher Cousin, ce n’est pas aujourd'hui que je vais te parler de tes soieries. J'ai eu ta lettre hier soir et je m'occupe de ta sœur comme si c'était la mienne car je l'aime de tout mon cœur. Avant de montrer ta lettre à mon père je veux être sûr que tu ne peux pas lui faire de tort. Peux-tu retrouver le fiancé de la cadette et lui dire d'aller en vitesse n'importe où (par exemple à T. retrouver Si Brahim, le copain de Georges) et là il écrit une lettre à mon grand-père où il explique que c'est lui qui a fait le travail de ta sœur.
Pour ce qui est du procès, j'attends des nouvelles de ton frère. Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir. j c Amitiés à toute la famille.
Abderahmane.
Ahcène t'embrasse.
Décodage : La « sœur » : DjamiIa Bouhired, la « cadette » : DjamiIa Bouazza,
le « fiancé de la cadette » :
Hattab Abdelmajid en fuite« T. » : Tunis, « Si Brahim » : un représentant du F.L.N. à Tunis, «Georges" : un adjoint de Yacef Saadi. Hadj Smaine dit Kama! " Arrêté le 23 septembre après avoir accompli une mission délicate à Paris puis à Tunis. « Le grand-père »: le président de la République française. (à l’époque René Coty) « Mon père » : M. Bourgès-Maunoury. « Ahcène » : le pseudonyme de Bouzourène Ali. Agent de liaison de Yacef. En fuite et signalé dans la région parisienne en 1957 (début septembre) »Abderahmane ».Madame l’idiote utile et complice de crimes contre la France et accessoirement coupable d’atteinte à la sûreté extérieure de l'État la camarade du gang de malfaiteurs dit PCF Germaine Tillion.

Évidemment pour Djamila Bouhired examinée avant son procès par un expert le 14 avril 1957, il ne sera relevé aucune marque, aucune trace des prétendus sévices évoqués par Maître Vergès ou la plaignante.
Ces derniers soutiendront que les marques restèrent visibles jusqu'au 30 mai, la « preuve » avancée étant le certificat médical fourni par le docteur Belkhodji, datant du 16 mai 1957. 

Il faut toutefois préciser que cette femme médecin était codétenue de Djamila Bouhired et membre du Parti Communiste Algérien. Pour atteinte à la sûreté extérieure de l'État, elle ne sera condamnée qu'à une peine légère de cinq ans de prison avec sursis Ses conclusions,orientées, si nous pouvons les comprendre, peuvent être pour le moins soupçonnées de partialité. En outre, Belkhodji signale que Bouhired affirme avoir été frappée et brûlée à l'électricité au niveau de la plaie thoracique antérieure. Des électrodes lui auraient été également appliquées sur les seins, la hanche droite, la cuisse droite et l'orifice vaginal. En fait la doctoresse n'affirme rien, mais juge les explications de la terroriste Djamila, susceptibles d'être envisagées sérieusement.
Néanmoins, ces éléments seront relevés, amplifiés par Maître Vergès avec cynisme. « Guerre d'Algérie N°7. Terrorisme et contre terrorisme. Collection du patrimoine »

Elle fut inculpée de terrorisme et justement condamnée à mort par le Tribunal permanent des Forces armées. Son exécution est stoppée par une odieuse campagne médiatique menée par son amant Jacques Vergès et Georges Arnaud. Ils écrivent un manifeste (encore un truc de la propagande communiste), publié la même année aux Éditions de Minuit, « Pour Djamila Bouhired».

C'est, avec l’opuscule du terroriste communiste falsificateur et menteur Henri Alleg « La Question », l'un des « manifestes rouges » qui « alerteront » et tromperont l'opinion publique sur les prétendus mauvais traitements et les prétendues « tortures » infligés par l'armée Française aux terroristes criminels algériens. Devant le tollé international soulevé par sa condamnation, elle est finalement graciée et libérée en 1962.
Elle « travaille » après sa libération avec le communiste Jacques Vergès, (qu'elle épousera en 1965), sur Révolution africaine, un magazine centré sur les révolutions nationalistes africaines déclanchées sur ordre de Moscou dont Verges était un agent. Elle a eu 2 enfants de son mariage avec Vergès.
Sa vie a été adaptée au cinéma par Youssef Chahine, Djamilah sorti en 1958. Son parcours est aussi évoqué dans la première partie du film L'Avocat de la terreur consacré à Jacques Vergès.

Interviewée en prison par un journaliste, le 10 avril 1958, elle affirmera, ainsi que ses complices Djemila Bouhired, Djemila Boupacha, Jacqueline Guerroudj et Zora Driff, ne jamais avoir été torturées.

Fin.

Alain de Bornay
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2 commentaires:

  1. pffffffffffff l'algérie n'était pas la France ! alors qui est à l'origine de tous ces massacres ??? pauvres cons vous écrivez l'histoire selon vos pulsions animales et inhumains : ne vous en faites pas l'HISTOIRE vous jugera !

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