2) Le mensonge Locussol suite...
Mais avec, à Alençon, le
6 octobre 2012 l’érection d’une plaque à la mémoire du traitre à la France et communiste (pléonasme) Alfred Locussol, « fonctionnaire »
des douanes et des enregistrements, Pierre Frénée et son « ami »
et camarade François Tollot adjoint au maire
socialiste, Joaquim Pueyo qui « financera » l’événement
avec les impôts des Alençonnais, se disqualifie encore un peu plus.
C'est vraiment dur d'être communiste car
il faut avoir une mémoire à trous… ce qui est nécessaire pour la tromperie
permanente comme on va le voir !
Alfred Locussol est né
le 30 Septembre 1904 à Carnot alors en France dans le département Français
d’Alger, on ne sait rien ou très peu
de la jeunesse d’Alfred Locussol.
Il aurait été « camarade »
au Lycée de Blida avec les terroristes du nauséabond FLN Ben Khedda et Saad
Dahlab.
Il est dit qu’après des études supérieures, il
aurait «travaillé» pour l'administration ( ?).
Après avril 1944 à 40
ans il est attaché de cabinet au ministère de l’air avec Grenier puis Charles
Tillon ce qui implique une adhésion pleine et entière au Parti Communiste
Français et une formation dans une école du parti qui se trouvaient toutes
alors à Moscou.
En 1945 le Parti Communiste par la voie du traître,
déserteur et collaborateur des Nazis le secrétaire général du PCF Maurice
Thorez désapprouvera la mutinerie ou insurrection de Sétif prélude à la « guerre »
d’Algérie. Lors du massacre
de Sétif et Guelma, il désignera même ceux-ci sous le nom de « provocateurs
hitléro-trotskistes ». En novembre 1954, les communistes du PCF condamnent
de façade aussi l’insurrection déclenchée par le FLN.
En 1947 à 43 ans
Locussol serait devenu militant du Parti Communiste Algérien (PCA) dont il est
dit qu’il émergea en 1920 comme une extension du PC- SFIC (Parti communiste Section
Française de l’Internationale Communiste) qui deviendra beaucoup plus
tard le
Parti communiste français (PCF). Hors il s’agit encore une fois d’une
falsification historique marxiste culturelle.
Le PCA sera créé et contrôlé jusqu’en 1952 par
André Marty, un communiste stalinien criminel et assassin, traître à la France
qui avait été mis en place vers 1931 à la tête du Parti
communiste Section Française de l’Internationale Communiste par Eugen Fried, l'homme de Moscou qui dirigeait
secrètement depuis Bruxelles le Komintern pour toute l'Europe de
l'Ouest.
A
partir de 1931, Marty est de plus en plus impliqué dans l'appareil de l'immonde
Internationale communiste appelée également Komintern à l'exécutif duquel il
représentera le parti français. (Aujourd’hui en France le « Komintern »
s’appelle Attac) En 1935, il sera nommé au présidium et au secrétariat,
devenant ainsi le Français au grade le plus élevé au sein du Komintern. Il
entre également au bureau politique du parti français en 1932. ICI
De fait le Parti
communiste Section Française de l’Internationale Communiste est étroitement tenu par Moscou : par
exemple de 1930 à 1943, date de sa mort, le parti est contrôlé par l'agent du
Komintern Eugen Fried, Juif hongrois né en 1900 qui parle yiddish, hongrois,
tchèque, slovaque, français, russe et anglais, qui choisit, pour Staline, comme
dirigeants du parti : Maurice Thorez (dont la première femme sera sa dernière
compagne et dont il élèvera le fils), Jacques Duclos, Benoît Frachon et André
Marty.
Pendant la guerre civile Espagne, à
partir de 1936, le Komintern nomme Marty inspecteur général des immondes Brigades internationales et il restera
planqué en Espagne jusqu'à la fin de la guerre, en 1939. André Marty, sera
surnommé le « boucher d'Albacete », il fut notamment chargé
d'éliminer physiquement les trotskistes,
nombres de trotskistes étaient à cette époque juifs à commencer par Trotsky
lui-même (Lev Davidovitch Bronstein) et son compère bolchévique et assassin Grigori
Zinoviev . Le témoignage de Sygmunt Stein, un
communiste polonais, membre des Brigades Internationales et de confession
judaïque dans son livre écrit en yiddish dans les années 1950 et parus dans une
traduction française de Marina Alexeevna-Antipov en 2012 est capital. Tout ce
qu’il croyait combattre dans le fascisme (Forme nationaliste du socialisme), à
commencer par l’antisémitisme, il le retrouve dans son propre camp, le camp
communiste, le camps de la haine, cette haine antisémite qui sévit encore
aujourd’hui au sein de ce « parti » dont de nombreux militants
sont condamnés pour incitation à la haine raciale antisémite, dont des
militants du MRAP mouvement qui distille de la haine des juifs ! La
déception est à la mesure de l’espoir qui l’avait mené en Espagne : immense.
Affecté par la suite à la compagnie juive Botwin, il sera envoyé au front pour
servir de chair à canon.
Des exécutions arbitraires du « boucher d’Albacete », André Marty, aux
banquets orgiaques des commissaires politiques, en passant par les impostures
de la propagande soviétique, Sygmunt Stein dénonce violemment dans son livre la
légende « dorée » des Brigades internationales assassines.
Voir
ici
Hemingway fait un portrait très peu
flatteur de Marty dans Pour qui sonne le glas, où il apparaît sous le
nom d'André Massart. On vient de voir que dans ses souvenirs de la guerre
d'Espagne, publiés primitivement en yiddish en 1956 le brigadiste polonais
Sygmunt Stein qui a connu Marty à Albacete, le présentait sous le jour d'un
antisémite stalinien sanguinaire qui inspirait la terreur à ses camarades de
combat.
Le traître antisémite et assassin
communiste André Marty est à Moscou lors de l'annonce de la signature du pacte
germano-soviétique, et de la déclaration de guerre, en septembre 1939. Il y est
rejoint par un autre traître et déserteur Maurice Thorez qui avait, sur un
ordre de Dimitrov rejoint Moscou. Il travaille pour le pestilentiel Komintern
jusqu'à la dissolution de celui-ci, en mai 43, et en octobre 43, il arrive à
Alger pour représenter le PCF auprès du gouvernement provisoire du Colonel De
Gaulle autoproclamé général et siéger à l'assemblée consultative ce qui expliquera
plus tard et en partie les liens entretenus par le « Général »
avec Prosper Môquet (Le père de Guy), André
Moine et autres rouges criminels, nous aurons
l’occasion d’en reparler.
Les noyaux (cellules) du
PCA étaient principalement composés d'ouvriers expatriés, européens dont de
nombreux Français « indésirables » en métropole. PCA dont André Moine était depuis 1947 le
secrétaire permanent.
Ah ! André Moine ; un programme
communiste nauséabond et haineux à lui seul. Arrêté le 29 août 1939 par le gouvernement
socialiste de l’époque pour propagande communiste, condamné à six mois de
prison à Pau, puis mis en résidence surveillée avant d'être déporté en Algérie
et interné à Djelfa (sud algérien) puis à la redoute de Bossuet (ex. Biribi),
en Oranie.
Libéré le 1er juin 1943, il « travailla » dans une fabrique
d'allumettes et fut détaché par la délégation du Comité central du P.C.F. et du
Parti Communiste d’URSS auprès du Parti communiste algérien afin de l'aider à
se réorganiser, il ne rentra en France qu'en octobre 1946 pour être instructeur
du P.C.F.
En mars 1947, sur proposition de Mauvais au nom prédestiné et Feix, il fut
envoyé à Alger où il se maria en 1947 avec Blanche Masson, installée en Algérie
depuis 1939, militante C.G.T.. Il est dit que pour mieux « s'intégrer »
comme « algérien
d'origine européenne », il « travailla » sur
l'histoire de l'Algérie et de la civilisation arabe (Sic), multiplia les
conférences et publia en 1950-1951 des articles de fond dans Liberté sur les
questions de la nationalité et de la culture algériennes (re sic). Belle
réussite pour un ex « ajusteur » juste titulaire de son
Certificat d'études primaires. Responsable du fameux Mouvement de la paix
( ?), il incita les militants du PCA à entrer dans la lutte armée dans les
Aurès. Semi clandestin à partir du printemps 1955, il organisa l'imprimerie
camouflée de « Liberté ».
C’était donc le « patron » de
Locussol. Comme formateur il mis au point les méthodes d’enlèvements, viols,
tortures, et actes de barbarie des agents du FLN jusqu’à ces « quarante
Européens séquestrés » jusqu’à ce que mort s’ensuive pour servir de «
donneurs de sang » aux rebelles terroristes du FLN. Clandestin dès février
1956, il fut arrêté par les parachutistes le 25 juillet 1957, interrogé
fermement par la Police Judiciaire, par la D.S.T. et par les militaires. Il fut
condamné à 5 ans puis à 20 ans de prison et sa femme à 10 ans de travaux
forcés. Ils furent malheureusement libérés en avril 1962.
L’association de malfaiteurs communistes le PCA
déclaré groupe de combat et milice privée (à l’époque on ne parlait pas de
terrorisme) est dissous (Dix sous c ’est pas cher pour un mouvement d’assassins
communistes) par décret du 12 septembre 1955 d’Edgar Faure.
Alfred Locussol comme son camarade
le « chef » André Moine rentre alors dans ce qu’il est
convenu d’appeler la « clandestinité » qui est l’autre nom de
l’action terroriste.
D’emblée le PCA et Alfred Locussol avaient fourni au terroristes du FLN les premières
bombes homicides (Alvarez à Oran, Iveton à Alger) et les premières poseuses de
bombes (Danielle Minne (1mort 25 blessés), et Raymonde Peschard (*1))
En 1956 on découvre à son domicile du
matériel d’imprimerie pour l’organe nauséabond de propagande marxiste et
terroriste du parti communiste algérien, Liberté Enchaînée.
Convaincu de complicité avec
l’aspirant Maillot un immonde déserteur communiste passé au FLN avec un plein
camion d’armes, Locussol passe en jugement
et n’est condamné qu’à 1 an de prison avec sursis fin 1956, sous le
gouvernement Guy Mollet, il quitte l’Algérie à l’instigation du PCF et
s’installe en France. Immédiatement, la direction du PCF le prend en charge,
lui donnant un travail et un appartement à Alençon ou il est muté comme
directeur adjoint de l’enregistrement et des domaines. Il y poursuivra
discrètement ses activités terroristes en se rendant une fois par semaine à
Paris prendre ses ordres. Il entretenait d’étroites relations avec les chef
barbouzes du MPC (mouvement de « gaullistes » de gauche Voir
ici notamment un dénommé Michel Mertz Ici) à qui il fournissait
de jeunes « éléments » communistes de « valeurs »
(Entendre des « jeunes » formés à l’action terroriste
criminelle) ou éléments « progressistes » aussitôt embrigadés
dans les sections anti patriotes et dirigés vers l’Algérie.
Le docteur Georges Hadjadj, militant du
PCA, confirmera plus tard que le PCA, Locussol
et ses complices marxistes fabriquaient des bombes participant ainsi aux
attentats terroristes criminels pendant la bataille d´Alger.
C’est aussi en 1956 que le PCA est
progressivement marginalisé par le FLN, tous ses militants passant à la lutte
terroriste armée l'ayant rejoint. C'est ainsi que Fernand Iveton, pose une
bombe à Alger peu de temps après avoir quitté la branche armée du PCA.
Peu de temps après, en septembre 1956, le
terroriste communiste professeur de sciences à la faculté d’Alger dit «mathématicien»
Maurice Audin organise l'extradition clandestine, vers l'étranger, du premier
secrétaire du PCA, Larbi Bouhali, avant d'être lui-même arrêté, il disparaîtra
lors de sa tentative d’évasion lors de la « bataille d'Alger ».
Nonobstant, on notera que le PCA le FLN et
l’ALN (Armée de
libération nationale) se sont essentiellement livrés à des
exactions dirigées de manière aveugle contre l’ensemble de la population en
Algérie.
Il est une population en Algérie qui a
particulièrement souffert de ses exactions communistes et musulmanes, c’est les
juifs en tant que juifs et pas en temps que Français de confession Israélite.
C’est ainsi que du point de vue des felouzes et des moudjahiddines qui tuent au
faciès ave du matériel fourni par les communistes, comme par exemple le 20 Août
1955, dans le Constantinois, il y a uniquement des « Yahud »
et des « Nsara » (chrétiens). Ici les juifs, on les visent
bien parce que Juifs qu’on tuaient, « de préférence le samedi »
Et on les visaient, selon différents modes opératoires, en les arrosant
d’essence dans la rue (David Chiche, 65 ans, Alger), en les tuant à l’entrée ou
à la sortie des synagogues (comme à Constantine, quelques mois avant
l’indépendance, Edmond Baruch Sirat, frère du Grand Rabbin de France René
Sirat), ou avec des bombes, y compris chez eux (Isaac Aziza, rabbin de
Nédroma, tué avec sa famille). Ils sont pourchassés en tout lieu : devant leur
magasin comme Emile Atlan (héros de l’Opération Torch, mise au point par
des Juifs, qui permit aux Américains de prendre Alger sans combat), à
l’intérieur de leur lieu de travail, ou en des lieux de détente (grenades dans
les cafés de Constantine) ou de loisir (Casino de la Corniche qui pulvérise
notamment l’orchestre de Lucien Séror, dit Lucky Starway)... Les
synagogues, elles-mêmes ne sont pas épargnées : grenades dans les synagogues de
villes du Sud, Boghari en Mars 1958 (1 mort), et Bou Saada en 1959 la veille de
Kippour (la petite fille du Rabbin est tuée). Celle d’Orléanville est
incendiée. La grande Synagogue d’Alger, en Décembre 1960, est dévastée
aux cris de « Mort aux juifs », les Rouleaux de la Tora
profanés, des croix gammées dessinées sur les murs, et le drapeau
indépendantiste planté.
Le « camarade » Locussol
est donc en France en 1957 où il continue sur le sol de la métropole ses
actions clandestines de traître à sa patrie, de communiste (Pléonasme) et
d’agent du FLN.
Il convient ici de faire une mise au point
capitale, il n’y eu jamais de « guerre » en Algérie, l’Algérie
n’était pas une colonie, l’Algérie c’était la France ! Comme la Bretagne
ou le Pays Basque. Il y eu essentiellement des opérations de maintien de
l’ordre dans les départements Français d’Algérie. Le mot « Guerre »
à été employé à tort comme d’habitude par les marxistes pour justifier de leurs
actions terroristes, en effet dans une guerre dite « de
libération » ( l’antienne marxiste : la fameuse juste lutte des
peuples pour le droit à disposer d’eux-mêmes) il y a, du fait du mot «
guerre » une juste « cause », des combattants, des soldats, des morts, des
armes etc. ça a quand même une autre gueule que des lâches attentats aveugles
et terroristes à la bombe pour assassiner des femmes et des enfants au nom de
l’édification du socialisme .
C’est lui qui aidera avec sa
connaissance de l’action terroriste ou progressiste son ami et camarade Harry
John Salem dit Henri Alleg (*2) qui était en prison
en Algérie inculpé d’ «association de malfaiteurs», d' «atteinte à la sûreté extérieure de l'État» et de «reconstitution de ligue dissoute» et
condamné à 10 ans de prison.
On cherche à obtenir sa
libération, mais le communiste Henri Alleg n’appartient pas à l’appareil du
PCF. Son épouse prend des contacts avec une autre organisation marxiste, la
Ligue des Droits de l’Homme, dont le président, Émile Kahn, écrit à Robert
Lacoste, ministre résidant en Algérie.
Fin juin 1960,
Alleg, devant être entendu comme témoin dans l’instruction du procès de « l’affaire »
Audin, fut transféré à Rennes.
Se plaignant de pseudos troubles de santé, il fut placé en centre hospitalier
surveillé. Son épouse Gilberte Serfaty,
Alfred Locussol et quelques « camarades » organisèrent alors
son évasion, dans la nuit du 2 au 3 octobre 1961. Henri Alleg, est alors
exfiltré en Tchécoslovaquie socialiste plus exactement à Prague la « Genève communiste », qui
accueille les terroristes des Partis Communistes du monde entier menacés par
les autorités de leurs pays.
Une partie des organisations communistes
internationales, comme l’association internationale des juristes démocrates (
sic), la fédération mondiale de la jeunesse ou le conseil mondial de la paix
(re sic), a son siège dans la ville et emploie des révolutionnaires
professionnels, des terroristes assassins dit « éléments
progressistes ». Les secrétariats des partis communistes s’adressent
directement à l’ambassade tchèque pour la demande d’accueil des « militants ».
Finalement Alfred Locussol fut exécuté à
son domicile par l’OAS, le 3 janvier 1962. Il s’agissait en l’occurrence de la
première exécution d’un traître à la France sur le territoire métropolitain qui
avait été condamné par l’organisation patriotique depuis l’Algérie.
L’exécuteur, fils de bonne famille, fut rattrapé le jour même au Mans, condamné
à vingt ans de détention puis libéré dès 1968. À peine Alfred Locussol était-il
enterré à Alençon au cimetière Notre-dame, en 1962, que sa tombe était taguée
d’un tonitruant et imbécile (Mort aux cocos) en effet il était déjà mort. Le
corps a alors été transféré en un lieu tenu secret par la famille. Il l'est
toujours. En effet, les capitulards marxistes, les terroristes communistes, les
complices de crime contre l’humanité, les traitres à la France doivent se
cacher au lieu de parader. Ils n'ont pas lieu d'être fiers de leur trahison, du
massacre des femmes, des enfants et des populations qu'ils ont aidé de leur
complicité immonde. Pour ceux qui ne le sauraient pas ou qui l'ont oublié, le
FLN avec l’aide du Parti Communiste se disant « Français » a
tué 30.000 Jeunes Appelés Français entre 1954 et 1962 (10 par Jour pendant 8
Ans).
Alors les ennemis de la France et les
traitres communistes peuvent aller raconter leurs fariboles en Algérie et
édifier leurs monuments à la gloire de la haine rouge du sang de 150 millions
de victimes de leur idéologie socialiste pestilentielle car les assassins du
F.L.N. les recueilleront peut être pour écouter leurs balivernes. ( Rien n’est
moins sur)
Nous souhaitons que des témoins de cette époque nous envoient
leurs témoignages. Qu'ils n'hésitent pas à nous contacter sur ctecna@gmail.com de manière anonyme ou en
commentaires anonymes sur ce blog.
Fin de la deuxième Partie du « mensonge Locussol ».
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Septembre 2014 la fête de la haine rouge ! |
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